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samedi 8 décembre, journée internationale de mobilisations pour le climat dans le 44!

samedi 8 décembre, journée internationale de mobilisations pour le climat dans le 44!

Urgence climatique et urgence sociale: un même combat

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« Cette mobilisation pour le climat qui se déploie dans tous les pays, est notre. Comme sont notres toutes les mobilisations pour la justice sociale, la défense des services publics et la solidarité avec les migrants et entre les peuples. » retrouvé l’appel Tract-marche-climat-collectif-unitaire-pour-le-marche

Rendez-vous à NANTES le 8 décembre:

  • 11h ; rassemblement « festif » aux Nefs
  • 12h : pique-nique et animations
  • 14h (au plus tard) :  départ de la marche depuis les Nefs >> rejoint par le cortège unitaire du « collectif du 26 mai » (regroupant des partis, syndicats et associations dont nous faisons partie) qui lui se regroupe à 13h45 à Chantiers navals et qui défilera en fin de cortège derrière une banderole (sans logos) affichant le message :  » justice climatique et sociale, même combat ».
  • La marche ira jusqu’à Commerce, point de rassemblement des gilets jaunes. Là, chaque organisation et chaque individu choisira de se joindre ou pas à la manifestation des G.J.

samedi 8 décembre, journée internationale de mobilisations pour le climat

 

 

 

rendez-vous  à ANCENIS le 8 décembre:

Départ à 11 h 00 devant les halles d’Ancenis. https://www.facebook.com/events/201902570737339/

urgence climatique et sociale

Le rendez-vous est donné à 11h devant les Halles et nous descendrons vers le jardin de l’Eperon où une soupe sera proposée.Ancenis le 8 décembre une marche pour le climat

le défi climatique et les réponses solidaires avec ENSEMBLE 44 à 20h à la Maison des syndicats de Nantes

Vincent Gay, militant écologiste, animera un débat public sur le défi climatique et les réponses solidaires à lui apporter,  le vendredi 12 octobre à Nantes, 20h, Maison des syndicats, Place de la gare de l’Etat.le défi climatique et les réponses solidaires

l’urgence climatique:

L’été a été particulièrement chaud, et divers événements rendent palpable la réalité des changements climatiques (incendies, inondations, canicule, fonte accélérée de la calotte glacière…). Les populations, gravement touchées, mesurent le défi qui les attend.
Les rapports des scientifiques sont tous alarmants. Nous disposons de peu d’années pour empêcher le pire. Et pour modifier l’urbanisme et les modes de vie afin de protéger les populations….

ENSEMBLE vous invite à débattre avec Vincent Gay. Le vendredi 12 octobre à 20h à la Maison des syndicats de Nantes
Place de la gare de l’état – salle du rez-de-chaussée

le défi climatique et les réponses solidaires

Un nouveau rassemblement pour le climat et la vie sur terre aura
lieu au miroir d’eau à Nantes Samedi 13 octobre à 14h.
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Quel avenir pour la ZAD ?

C’était le titre d’une émission de Médiapart… » Quel avenir pour la ZAD ? »

Si l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes est abandonné, que pourrait devenir la Zad? Une zone d’expérimentations où cohabiteraient paysan.ne.s et anciens squatteurs défend le mouvement qui s’est battu contre l’aérogare. Discussion entre Thomas et Camille, deux habitant·e·s, Angélique, paysanne et Jean-Marie, naturaliste en lutte.

et maintenant…le 17 mai 2018 les expulsions reprennent:

  • 12 h – Des zadistes, des représentants de Copain 44 et des Naturalistes en lutte ont donné une conférence de presse à la Rolandière, à trente mètres de la ligne des fourgons de gendarmes stationnés en ligne continue, pare-choc contre pare-choc, entre la Rolandière et la Saulce :« On est dans une colère profonde. Aujourd’hui on détruit des bâtiments, des vies et des pratiques agricoles. Les négociations c’est de l’enfumage, comme face aux cheminots et aux étudiants. La seule logique, c’est l’expulsion. …Concernant la Châteigne, « c’est un village reconstruit en 2012 lors d’un chantier collectif auquel ont participé les 250 comités de soutien créés après l’opération César, a rappelé le zadiste. C’est aussi une manière d’effacer l’histoire de cette lutte »suite sur Reporterre

communiqué d’EnsemblE 44:

NON A LA REPRISE DES EXPULSIONS A  NOTRE DAME DES LANDES !

Ce jeudi matin, l’offensive militaire contre la ZAD de Notre Dame des Landes a repris. Alors que des projets ont été déposés par nombre d’habitant.e.s. Alors que des discussions sont en cours et qu’il n’y a aucune urgence pour régler les questions en suspens. Le gouvernement montre bien sa volonté de revanche contre le mouvement qui a permis que l’aéroport prévu ne soit pas construit. Il montre sa volonté de réprimer, comme il le fait contre les

Quel avenir pour la ZAD ?

mouvements sociaux, notamment en faisant évacuer les facultés par la police.
ENSEMBLE ! 44 appelle à la mobilisation unitaire pour permettre à celles et ceux qui veulent mettre en place de nouvelles pratiques agricoles et sociales de demeurer sur la ZAD.

Rappel du communiqué de la France Insoumise 44

Les naturalistes en lutte dénonce le saccage des prairies,  . »Ces destructions en pleine période de nidification des oiseaux et de reproduction pour la plupart des espèces sauvages du site s’accompagnent bien entendu d’un nuage de gaz lacrymogène et d’un grand nombre de grenades explosives. Nous connaissons les conséquences de ces batailles lourdement équipées en terme de pollution chimique et sonore, fatale à un certain nombre d’animaux et gâchant le travail agricole pour longtemps. »..alors qu' »Il faut aussi se rappeler que tout au long du bras de fer contre le projet d’aéroport, les différentes personnes composant le mouvement d’occupation ont montré un souci constant de leur impact écologique malgré les fortunes diverses de cet épisode. »..

ce lundi 14 mai avait lieu un rassemblement à Nantes avec un appel de COPAIn 44, Acipa, des habitant.e.s de la zad, Naturalistes en lutte. Pour un avenir commun dans le bocage!

La vague d’expulsions sur la zad de notre dame des landes a suscité d’importantes mobilisations sur le terrain et des réactions à travers tout le pays. Après dix jours d’intervention, les destructions de lieux de vie ont été suspendues. Un dialogue a repris entre le mouvement et la Préfecture après le dépôt collectif d’un dossier présentant plusieurs dizaines de projets agricoles , artisanaux, sociaux ou culturels sur la zad. Ce geste collectif vise à mettre en avant ce qui lie profondément ses activités et l’usage commun des terres et ressources.

Mais la trêve apparaît extrêmement fragile : des centaines de gendarmes sont toujours déployés dans le bocage, maintenant une pression quotidienne et mettant à mal la possibilité même de mettre en oeuvre les travaux agricoles en plein début de saison. Le premier ministre a posé un nouvel ultimatum avec la menace d’une reprise des expulsions après le 14 mai. Alors qu’un cycle de rendez-vous est actuellement engagé sur la pérénnisation des projets, le gouvernement décidera-t-il de rompre une fois de plus unilatéralement le dialogue pour se livrer à une nouvelle opération de destruction ?

Au-delà des lieux de vie, certains projets agricoles en cours depuis plusieurs années sont aujourd’hui menacés sur des terres convoitées par d’autres agriculteurs. Le gouvernement doit trancher au plus vite pour que les parcelles concernées aillent à de nouvelles installations plutôt qu’à l’agrandissement d’exploitations existantes.

Le 14 mai va se tenir en préfecture un second comité de pilotage censé examiner les projets portés par les habitants de la zad. Nous paysan.ne.s, associations, habitant.e.s, naturalistes qui avons défendu les terres de la zad contre le projet d’aéroport et nous projetons dans leur avenir – appelons à un pique-nique et rassemblement calme et déterminé devant la préfecture lors de la tenue du comité de pilotage.

Il s’agira d’y affirmer le refus de toute nouvelle expulsion sur la zad et d’y apporter un soutien aux différents projets présentés, à la vision coopérative qui s’en dégage. Nous refusons qu’on impose à ce qui s’est construit d’unique dans le bocage de notre-dame-des-landes les critères du modèle agricole classique dont on connaît partout les conséquences : désertification rurale, disparition des
petites exploitations et individualisme entrepreneurial, sujétions aux groupes de l’agrochimie, dégradation continue des sols et de la biodiversité.

Nous souhaitons toujours pour notre part enraciner sur la zad une pratique des communs et d’une paysannerie solidaire, réellement soucieuse du soin du bocage et de l’environnement. Nous voulons toujours un territoire vivant et partagé, qui laisse la place à des manières de l’habiter qui ne soient pas qu’agricoles et à diverses formes d’expérimentation sociales. Il faut que le temps nécessaire soit laissé pour un dialogue réel autour de l’avenir du bocage de Notre-Dame-des-Landes. Ceci implique un calendrier crédible et des délais tenables et la fin des ultimatums et des menaces. Le rassemblement du 14 mai marquera la vigilance accrue de tous et toutes sur la suite du processus.